Regardez ce qui est arrivé lors de l’altercation légendaire entre Nick Diaz et Joe Riggs à l’hôpital après l’UFC 57
Dans le monde du MMA, il n’y a pas seulement ce qui se passe dans l’octogone qui fait parler, mais aussi les événements inattendus en coulisses. C’est en février 2006, après l’UFC 57, qu’un épisode mémorable s’est déroulé. Nick Diaz et Joe Riggs, qui s’étaient déjà affrontés sur le ring, ont eu une altercation dans un lieu pour le moins insolite : l’hôpital de Las Vegas.
Après un combat épuisant en compétition, Diaz et Riggs ont dû se rendre tous les deux à l’hôpital pour des soins. L’intensité de leur rivalité n’avait visiblement pas baissé d’un cran. Joe Riggs, qui culmine à 84 kg, venait de gagner leur rencontre par décision unanime lorsqu’il a soudain retrouvé Diaz, un adversaire notoire pesant lui aussi aux alentours de 84 kg, dans une pièce exiguë de l’hôpital.
Dans le cadre d’une interview pour promouvoir un documentaire de combat, les deux combattants se sont remémorés cette confrontation post-combat avec un mélange de malice et d’intensité. Joe Riggs a évoqué la tension palpable dès le premier regard échangé avec Diaz. “Il était clair que rien n’était terminé”, a-t-il dit. De son côté, Nick Diaz s’est rappelé l’instant critique : “Boom, je l’ai frappé et c’était parti.”
Le personnel hospitalier lui-même était stupéfait devant ce duel imprévu. Imaginez : un combat que personne ne s’attendait à voir, au cœur d’un espace où la violence est habituellement soigneusement contenue et neutralisée.
C’est cet esprit indomptable, brûlant de rivalité, qui a fait naître des histoires légendaires dans le MMA, des récits qui parfois éclipsent les performances sportives elles-mêmes. Pour les amateurs de ce sport, l’anecdote résonne encore comme un écho des rivalités passées, une piqûre de rappel que dans le combat, comme dans la vie, il n’y a aucun répit. À l’époque, cet incident est devenu une légende urbaine, souvent chuchotée entre les passionnés de MMA, qui fascine encore aujourd’hui par son côté impromptu et sa brutalité.