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Kai Stewart : BKFC, la 2ème meilleure promotion de combat, se démarque des autres MMA

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Kai Stewart : Le BKFC est le numéro 2 des promotions de combat, les autres organisations de MMA trop semblables à l’UFC, « nous sommes différents »

L’univers du Bare-Knuckle Fighting Championship (BKFC) est en effervescence, notamment grâce à l’ambassadeur passionné qu’est Kai Stewart. Ce poids plume, qui oscille autour de 65 kg, est convaincu que le BKFC se distingue nettement sur la scène des arts martiaux mixtes. Dans une interview riche en émotions, il partage ses pensées sur ce qui, selon lui, rend cette organisation unique en son genre.

Kai Stewart n’hésite pas à exprimer son opinion tranchée sur la compétition. Pour lui, une chose est claire : « La plupart des organisations de MMA se ressemblent trop à l’UFC. Nous, au BKFC, nous avons trouvé notre propre voie. Nous sommes différents. » Avec une pointe de fierté, il met en avant ce mix si particulier de brutalité et de technique qui fait la spécificité du BKFC.

Surnommé « le guerrier insoumis » par ses pairs, Stewart a une expérience significative dans le monde des combats à mains nues. De nombreux spectateurs se souviennent encore de son affrontement épique contre Luis Palomino, une bataille qui a laissé tous les amateurs de combats sans voix. « Le BKFC, c’est de l’action pure et sans fioritures, » ajoute-t-il. Il pointe du doigt la simplicité et l’authenticité des affrontements, loin des grandes mises en scène souvent observées ailleurs.

Le contexte économique joue également un rôle crucial. Selon certains experts du domaine, le succès croissant du BKFC pourrait bien se traduire par un engouement global. Lors de l’événement BKFC 18, par exemple, la participation et l’enthousiasme du public étaient palpables, un phénomène qui ne cesse de se répéter à chaque nouvelle soirée.

L’anecdote émouvante que les fans adorent partager est celle de l’ascension de Stewart, qui a commencé modestement en tant que barman le soir et combattant le jour. « J’ai appris à me battre dans la rue avant d’entrer dans un ring professionnel, » avoue-t-il. Ces récits contribuent à créer une légende autour de sa personnalité, rendant chaque combat encore plus palpitant.

Le BKFC, basé à Philadelphie, a su attirer des pointures comme Hector Lombard et Paige VanZant, des noms qui résonnent fort dans le MMA. Cette stratégie de recrutement assoit davantage la position de l’organisation comme un acteur incontournable, capable de concurrencer tant UFC que Bellator.

En conclusion, Kai Stewart et ses confrères du BKFC estiment offrir quelque chose d’unique et d’authentique au public. Une chose est sûre, leur approche « à mains nues » s’impose de plus en plus comme une alternative rafraîchissante dans le monde des sports de combat. Les amateurs de sensations fortes ne pourront qu’apprécier ce retour aux sources brutes et sans compromis.

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